L’abeille domestique est certes utile pour la pollinisation des cultures, mais ses cousines sauvages le sont encore plus. C’est la conclusion sans appel d’une étude menée sur les cinq continents dont les résultats sont parus le 1er mars.
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Sur le plan agro-environnemental, la leçon à tirer de ces résultats est claire. Pour préserver le rendement des cultures, on ne saurait se contenter d’enrayer le déclin des abeilles domestiques : il faut aussi enrayer celui, moins médiatisé mais tout aussi réel, des pollinisateurs sauvages.
L'article en entier : Les abeilles sauvages, reines de la pollinisation