Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

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Necoman
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Re: Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

Message non lu par Necoman »

Merci pour le partage, après si quelqu'un s'ennuie et veut faire un rapide résumé en français... *oups*
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Rmsfourmi
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Re: Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

Message non lu par Rmsfourmi »

Merci j’essaye de comprendre ça va mais il y a des choses que je ne comprends pas.
:think:
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Necoman
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Re: Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

Message non lu par Necoman »

Donc ça ne va pas si bien que ça alors. :mrgreen:
Dernière modification par Libertango le jeu. 6 avr. 2017 18:05, modifié 1 fois.
Raison : "Ne" + "pas".
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Rmsfourmi
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Re: Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

Message non lu par Rmsfourmi »

Ne me juge pas d'accord.
Je ne suis pas venu ici pour souffrir. :'(
Dernière modification par Libertango le jeu. 6 avr. 2017 18:04, modifié 1 fois.
Raison : "Ne" + "pas". Merci.
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Re: Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

Message non lu par Necoman »

Oh bah je ne voulais pas te rendre tout triste ! *oups*
Dernière modification par Libertango le jeu. 6 avr. 2017 18:04, modifié 1 fois.
Raison : "Ne" + "pas".
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Sareladen
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Re: Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

Message non lu par Sareladen »

Je suis nul en synthèse et j'ai trouvé que tout dans l'article est intéressant, alors le voilà en entier. Il manque les liens par contre, mais mes paragraphes respectent ceux de l'article original, alors vous devriez pouvoir vous retrouver si vous voulez en lire plus. Tout ce qui est en noir est l'article traduit :

Personne ne dirait qu'un bébé fourmi est mignon. Ça ne ressemble à rien, et leur comportement est proprement terrifiant, quand elles ne sont pas en train de vomir dans la gueule d'une adulte elles sont en train de se dévorer entre elles.

Les fourmis toutefois ne font pas que tolérer ce genre de comportement, elles en dépendent ! Les chercheurs suspectent maintenant que les larves de fourmis jouent un rôle vital dans la cohésion des sociétés complexes dans lesquelles elles sont nées.

"Les larves pourraient bien être une caste à part avec une fonction spécifique, sans laquelle une colonie ne pourrait pas fonctionner", dit Eva Schultner, de l'université Regensburg en Allemagne.

Chez certains insectes comme les termites, les jeunes ont la forme de mini-adultes, avec des petites pattes et tout. Les larves de fourmi n'ont pas ce genre de don. Leur corps dépourvu de membres semble les rendre incapables de bouger correctement, donnant l'impression que ce ne sont que des objets passifs dépendant entièrement des soins des adultes. Elles n'ont même pas d'antennes, chose dont se servent les adultes pour communiquer et sonder leur environnement, du coup les biologistes pensaient avant qu'elles ne pouvaient pas interagir avec leur environnement.

Toutefois, les apparences peuvent être trompeuses.

Une petite photo de fourmis avec une graine. :)

Certaines larves indiquent aux adultes qu'elles ont faim en gigotant de manière spécifique. D'autres, comme les larves des fourmis bulldog, se dressent. Certaines larves sont mobiles malgré leur absence de pattes ! Elles peuvent se dandiner jusqu'à des insectes ou des vers ramenés au nid par des ouvrières.

En plus de ça, les larves de fourmis ont des corps arborant des fonctionnalités originales. Les minuscules têtes étirées des jeunes Myrmecina, par exemple, sont tout à fait adaptés au nourrissage. Les adultes peuvent ouvrir une mite et la présenter aux larves, qui vont alors plonger leurs têtes étirées dans la carcasse pour en dévorer le contenu.

Les larves de Leptothorax ont une fonctionnalité complémentaire à ça : des structures uniques sur leur ventre agissent comme des paniers à bouffe, leur permettant de s'accrocher à leurs proies.

Une vue rapprochée de beaucoup de larves révèle un corps couvert de poils, souvent spécialisés dans nombre de fonctions. Dans les fourmis des bois, ces poils agissent comme du Velcro, permettant aux ouvrières de les transporter facilement. Les larves plus vieilles d'une autre espèce, Pheidole rhea, ont des crochets au bout de ces poils, pour permettre aux adultes de les attacher aux murs du nid. Les adultes feraient ça pour les organiser et déterminer quand les nourrir. Les Ponérines ont un système similaire sauf qu'elles utilisent des structures collantes plutôt que des crochets.

Les poils ont d'autres fonctions que celle d'ancre : elles peuvent aider les larves à communiquer. Les larves de guêpe utilisent leurs poils comme organe senseur principal. Dans leur nid, elles peuvent détecter des vibrations quand les adultes tapent sur les murs. Ces vibrations sont supposées avoir un rôle dans la détermination du devenir des jeunes guêpes, entre ouvrière et reine. On pourrait croire que les poils serviraient à des choses similaires chez les fourmis, mais aucune étude ne le confirme encore.

Plutôt que des poils, certaines larves de fourmis ont des organes producteurs de son qui leur permettent de communiquer. Karsten Schonrogge, du NERC Centre for Ecology and Hydrology de Wallingford, a découvert qu'une fois que la coque externe de certains cocons de Myrmica devient plus dure, un organe spécialisé se forme pour leur permettre de faire des appels (Skype :mrgreen: ). Les fourmis plus vieilles utilisent typiquement des signaux chimiques pour communiquer, mais les chercheurs pensent que cette coque externe durcie bloque la sécrétion de phéromones, les incitant à avoir recours au son pour communiquer. Des sons de frottements pourraient marquer un statut social élevé, étant donné que les larves des classes sociales basses sont muettes.

Certaines larves de fourmis ont des attributs physiques bénéficiant à la colonie entière. Les larves des fourmis tisserandes produisent de la soie pour faire des cocons, mais les adultes utilisent également cette soie pour fabriquer leurs nids. Ce sont surtout les larves femelles qui sont recrutées pour cette tache, supposant une division de labeur parmi les larves.

Image des Myrmica :)

D'un autre côté, lors d'inondations certaines espèces exploitent l’habilité naturelle de leurs larves à flotter pour sauver la colonie. Les Formica selysi se lient physiquement pour former des radeaux leur permettant de survivre au déluge. Les larves, flottant plus facilement, sont toujours placées à la base du radeau, et réussissent la plupart du temps à survivre malgré cette position.

Le comportement des larves peut être encore plus bizarre que leurs attributs physiques. Par exemple, elles agissent souvent comme des estomacs communaux. Les adultes ont un thorax tellement étroit qu'elles ne peuvent que consommer des fluides. Les larves toutefois peuvent manger les insectes à la place des adultes, pour leur redonner ensuite un liquide riche en protéines.

La manière d'assimiler la nourriture peut varier selon les larves. Les jeunes poneromorphes commencent par exemple à digérer les insectes depuis l'extérieur en utilisant de la salive, avant de les ingérer et de régurgiter les restes digérés dans la bouche des ouvrières, qui à leur tour donneront ces protéines à la reine, qui en a besoin pour pondre.

D'autres larves, comme celles de Pheidole spadonia, aident les adultes à assimiler leur nourriture de manière légèrement différente. Des biologistes ont découvert dans une expérience que les ouvrières ont besoin des larves pour ramollir leurs proies. Les ouvrières démembraient des mouches et plaçaient ensuite les morceaux durs de leurs corps sous la bouche d'une larve, dans des "vallées/ravins" spécialisés pour tenir de la nourriture. La larve baverait alors sur les restes de la mouche, enduisant ces restes de salive qui digère et adoucit les tissus. Des fois, les larves perçaient la nourriture avec leurs mandibules, permettant aux enzymes digestives la pénétration dans les tissus pour accélérer le procédé. Si le tout aboutit, les ouvrières aspirent le tissu mou et en redonnent un peu à manger aux larves.

Les larves rendent parfois service aux adultes d'une manière un peu plus macabre. Les Amblyopone silvestrii peuvent percer la peau d'une larve pour accéder aux conduits de son abdomen et en sucer l'hémolymphe (sang dans l'article), à la manière d'un vampire. Ces fourmis ont pour proies de larges mille-pattes, qui ne sont pas toujours disponibles, donc les biologistes pensent que leur comportement de vampire est une adaptation nécessaire à compléter leur régime. D'autres Amblyopones compressent le cou des larves pour en extraire de la salive. Les Solenopsis peuvent pincer le derrière d'une larve pour lui faire libérer des gouttelettes anales laiteuses pleines de nutriments recyclés.

Les larves mortes peuvent également être mangées toutes entières, tant qu'elles ne sont pas mortes d'une maladie contagieuse. Dans les cas plus extrêmes, quand il y a des pénuries en nourriture, les larves risquent de prendre cher : elles sont tuées et mangées. "Ce sont des plats préparés riches en protéines et disponibles dans une colonie", dit Schultner. "Si une reine court un risque de mourir de faim, on la nourrira en larves et en cocons".

En jouant un rôle clé dans la mise à disposition de nourriture, les larves contrôlent le succès reproductif d'une colonie. Étant donné qu'une reine ont besoin des protéines pourvues par les larves pour pondre, sa fécondité augmente quand il y a plus de larves dans les environs. En plus, les larves de Monomorium pharaonis ont l'air de décider assez activement à quels adultes donner des sécrétions, pour éviter de gaspiller des nutriments. Les larves donnent joyeusement à manger aux reines matures et fécondées, mais refusent ça aux reines jeunes, sexuellement actives ou vierges. Des signaux chimiques pourraient les aider à déterminer l'état de fécondation d'une reine.

Les larves peuvent réguler la reproduction avec d'autres manières, aussi. Tandis que les ouvrières peuvent généralement produire leur propre descendance, elles se retiennent généralement quand une reine est là pour s'occuper de ses œufs à la place. Jessie Ebie de l'université Arizona State dans le Tempe et ses collègues ont voulu découvrir comment les ouvrières Novomessor cockerelli, qui vivent dans des colonies éclatées entre plusieurs nids séparés, savent qu'il y a une reine fertile quelque part dans le système sans avoir de contact avec elle.

Les ouvrières produisent des œufs identiques visuellement aux œufs de la reine, alors Ebie et son équipe suspectaient initialement qu'un marqueur chimique sur les œufs de la reine permettaient de faire la distinction, pour inciter les ouvrières à arrêter de pondre leurs propres œufs. "Nous étions surpris de découvrir que ce n'étaient pas les œufs", dit Ebie, "ce sont en fait les larves qui retardent la reproduction des ouvrières".

Quand les ouvrières étaient entourés d’œufs de la reine, elles pondaient normalement. Mais quand les larves de la reine étaient présentes, les ouvrières se retenaient.

Ebie essaie maintenant de résoudre le mystère de savoir comment les larves inhibent cette ponte. Elles pourraient être en train de libérer des phéromones, ou alors les ouvrières pourraient simplement être limitées en nutriments nécessaires à leur reproduction après avoir nourri les larves. "Les ouvrières produisent des œufs qui ne sont pas viables pour nourrir les larves et la reine", dit Ebie.

Toutefois le comportement le plus énigmatique de tous pourrait être le cannibalisme. Les larves vont parfois manger d'autres larves - un comportement perplexant pour un insecte social où la coopération et le sacrifice sont généralement la règle. "Le cannibalism est un des comportements les plus évidemment égoïstes", dit Schultner.

Dans une étude récente, Schultner et son équipe ont cherché à savoir si les larves cannibales pourraient être en train d'aider leurs proches (la nature de la proximité n'est pas précisée). Les colonies peuvent être faites de groupes de fourmis n'étant pas très proches, elles regroupent parfois plusieurs centaines ou milliers de familles différentes. Les chercheurs suspectaient que les larves ont plus de chances de bouffer des larves qui sont assez éloignées que des cousins proches. Se débarrasser de familles éloignées aiderait leur propre famille à prendre contrôle de la colonie.

En comparant huit espèces de fourmis ayant une gamme de proximité familiale dans leurs colonies, Schultner et ses collègues ont trouvé que les niveaux de cannibalisme entre larves étaient plus bas dans les nids abritant des sœurs proches. Ceci suggère que les larves sont capables de distinguer entre les individus qui sont proches et ceux qui le sont moins, toutefois leur manière de le faire n'est pas très claire.

Une photo de fourmis qui se battent !

"Elles sont capables d'évaluer leur environnement et de réagir différemment à divers contextes sociaux", dit Schultner. Les larves mâles ont également plus de chances de pratiquer le cannibalisme que les femelles, toutefois on ne sait toujours pas pourquoi.

Les larves pourraient également être capables de cannibaliser des intrus (c'est plus du cannibalisme du coup ?). Nombre de fourmis sont des parasites sociaux et vont établir de nouvelles colonies en volant l'habitat d'une autre colonie. Une jeune reine va typiquement entrer dans un nid étranger et y pondre ses œufs, en trompant les résidents pour qu'ils s'en occupent. Avec le temps, les intrus vont prendre contrôle.

Schultner et son équipe ont maintenant envie de découvrir si les larves sont capables d'aider à la défense de leur colonie par cannibalisme. Puisqu'une reine envahisseuse n'est typiquement pas attaquée et tuée directement, on suspecte que les larves de l'hôte seraient en train de se battre dans l'ombre en tuant les œufs de l'intrus. "On a remarqué que les larves ont l'air de réagir différemment à différents types d’œufs, alors peut-être qu'elles reconnaissent les œufs parasites et les mangent", dit Schultner.

Les résultats préliminaires semblent supporter cette hypothèse. Mais découvrir comment les larves peuvent différencier les œufs est le prochain défi. Les adultes utilisent leurs antennes pour sonder leur environnement, comme sentir des odeurs, mais les larves sont dépourvues de membres sensoriels ou d'organes d'odorat. Les larves de certains autres insectes ont des récepteurs aux odeurs dans d'autres parties de leur corps, c'est possible que ce soit la même chose pour les larves de fourmis. "Ça implique qu'elles peuvent établir dans quel environnement chimique elles se trouvent", dit Schultner.

Les larves laissent tomber leurs nombreux pouvoirs en évoluant en de majestueuses adultes, mais leur enfance laisse une marque. Par exemple, les bébés fourmis apprennent l'odeur de leur "compagnons de nid" ( :mrgreen: ) assez tôt, ce qui a l'air d'influencer leur habilité à reconnaître les membres de la colonie une fois adultes. Leur nutrition et leur environnement en tant que larves influence également leur devenir : ouvrière ou reine, puisque les larves atteignent leur taille corporelle maximale avant d'arriver à l'âge adulte.

En fait, le futur d'une colonie et de ses descendants dépend des larves. Ce qui arrive aux larves pendant leur développement peut générer des caractéristiques qui seront passées aux nouvelles générations par sélection naturelle. Une colonie pleine de succès est généralement le produit de ses humbles origines de larve.

"C'est pas ce qu'elles font en tant qu'adultes qui compte", dit Schultner. "Ce qu'elles font pendant leur développement aura une influence sur leur succès plus tard dans la vie".

Voilà voilà. Je me suis un peu relu, j'espère que ce que j'ai écrit est compréhensible. :)
En tous cas ça explique pourquoi on voit toujours les ouvrières ramener les insectes jusqu'au couvain !
Dernière modification par Sareladen le jeu. 6 avr. 2017 21:47, modifié 2 fois.
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Message non lu par Necoman »

Super merci à toi Sareladen ! *amen*
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Re: Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

Message non lu par Heydax »

Géniale la traduction, merci beaucoup (même si le terme "bouffer" ne semble pas très scientifique XD) !
Dernière modification par Heydax le ven. 7 avr. 2017 07:53, modifié 1 fois.
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Re: Un article qui se focalise sur le rôle des larves (anglais)

Message non lu par Necoman »

@Heydax XD .


Blague à part c'est un article intéressant. Je savais déjà certaines choses et j'en ai appris certaines.
Cependant un point m'intrigue : "La manière d'assimiler la nourriture peut varier selon les larves. Les jeunes poneromorphes commencent par exemple à digérer les insectes depuis l'extérieur en utilisant de la salive, avant de les ingérer et de régurgiter les restes digérés dans la bouche des ouvrières, qui à leur tour donneront ces protéines à la reine, qui en a besoin pour pondre."

Dans mes souvenirs les protéines sont nécessaires pour nourrir les larves (pour leur développement) mais pas spécialement pour la ponte de la reine. On observe d’ailleurs souvent dans nos colonies, en captivité, que les fourmis ne s’intéressent aux protéines que lorsque des larves sont présentent dans le couvain.

Du coup je ne vois que deux possibilités :
1/ Ceci est propre aux ponémorphes (je ne suis pas un grand connaisseur à leur sujet).
2/ Les larves "transforment" les protéines qui leurs sont donnés en une substance favorisant la ponte de la reine.
(3/ Les scientifiques ce sont gourés comme des manches :mrgreen: ).

:think:
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