Les colonies d'Harpeg

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Geoff95
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Re: Les colonies d'Harpeg

Message non lu par Geoff95 »

Ce ne sont pas des posts de rigolos ça ! XD

Et très belles colonies ! *good*
Je suis particulièrement impressionné par l'élevage réussi sur le long terme des Lasius flavus. Tu n'as pas commencé par du facile.
C'est bien sympa d'avoir à nouveau le suivi d'une grosse colonie de Lasius jaunes sur le forum. Elles sont bien rares ici et ont connu des revers l'année passée. :'(
Impatient de lire la suite.
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C-R
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Re: Les colonies d'Harpeg

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Le prochain message :
"Ah oui au fait dans un coin ma colonie de Camponotus gigas de 30 000 ouvrières." XD

Bien sympa cette colonie de Messor barbarus aussi. :)
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olimos
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Re: Les colonies d'Harpeg

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Très jolies colonies. :slap:
Quelle est ta colonie préférée ? ;-)
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Harpeg
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Re: Les colonies d'Harpeg

Message non lu par Harpeg »

Bonjour !

Au tour de ma petite colonie de Camponotus cruentatus d'être présentée. :-)

En octobre 2014, j'ai décidé de me lancer dans l'élevage d'une espèce un peu plus compliquée à "entretenir", et ayant une bonne taille. Parmi les différentes Camponotus, la Camponotus cruentatus était celle qui me plaisait le plus : noire mat avec une petite coloration rouille et une apparence arachnéenne. Réputée longue de développement, c'était pour moi l'heure de mettre à l'épreuve ma patience. J'ai donc commandé une jeune fondation comportant 5 ouvrières sur le site où j'avais acheté un peu plus tôt mes Messor barbarus. J'ai reçu en "cadeau" une fondation de Crematogaster scutellaris.

Fort content de mon acquisition, j'ai alors placé ces dames dans un module d'élevage de chez ***, alternative à l'élevage en tube. Le couvain était composé de 5 petites larves. À partir de novembre 2014, le module de fondation a été mis au garage à une température moyenne de 12°C. Je n'ai donc pas écouté les "bons" conseils du vendeur "gardez-les au chaud cet hiver, vous aurez une colonie plus populeuse rapidement". M'étant fort renseigné sur cette espèce avant mon achat, je savais à quoi m'en tenir. L'hivernage de 4 mois s'est déroulé sans encombre, avec un apport en liquides sucrés toutes les 2-3 semaines (elles avaient été gavées avant la mise au froid bien entendu). RAS mis à part quelques minuscules bestioles sans intérêt que j'écrasais allégrement lors de mes "visites".
Fondation de Camponotus cruentatus (10/14), Les colonies d'Harpeg
Fondation de Camponotus cruentatus (10/14)
Fondation de Camponotus cruentatus (04/15), Les colonies d'Harpeg
Fondation de Camponotus cruentatus (04/15)

Sortie en mars 2015, tout ce petit monde semblait aller parfaitement bien. Vers mi-avril 2015, 2 des 5 larves ont commencé leur mise en cocon. Parti en Angleterre à partir de mai (en les confiant à ma mère), je suis revenu mi-juin. 3 larves, des restes de cocons, mais 5 ouvrières et... des restes d'ailes au milieu des cocons ouverts :-? ??? Autre chose étrange, les ouvrières courraient dans tous les sens, traquant un intrus invisible. Pas si invisible pour un œil humain : des dizaines de ces fameuses petites bêtes sans intérêt. Des psoques. Inoffensifs car détritivores certes, mais perturbants pour une jeune fondation, dont les individus sont trop gros pour attraper ces "microbes". J'ai donc fait déménager la fondation en tube m'assurant qu'aucun des squatteurs n'y était introduit. Le module de fondation a été ensuite lavé avec un peu de javel, et passé ensuite au congélateur. N'ayant pas encore eu la bonne idée de relier ce tube à une boite de cotons-tiges en guise d'ADC, j'ai alors transféré le lendemain le contenu du tube dans un nid pour grosses espèces (beaucoup trop grand) acheté d'avance chez *** (plus simple pour ma mère pour l'apport en nourriture). Et je suis retourné en Angleterre.
Début de nymphose des larves de Camponotus cruentatus (fin avril 2015), Les colonies d'Harpeg
Début de nymphose des larves de Camponotus cruentatus (fin avril 2015)
Jeune colonie de Camponotus cruentatus (07/15), Les colonies d'Harpeg
Jeune colonie de Camponotus cruentatus (07/15)

Je n'explique toujours pas la présence de ces ailes dans les détritus. J'ai pu lire sur plusieurs forums, que dans de rares cas, les jeunes gynes Camponotus cruentatus préfèrent pondre des mâles car ils ne possèdent que le patrimoine génétique de leur mère. Elles se sentiraient alors plus en sécurité qu'avec des ouvrières possédant un patrimoine génétique double (gyne+mâle). Il y a pourtant déjà 5 ouvrières... boost ? Il est vrai qu'en y réfléchissant bien, les ouvrières nées par la suite étaient beaucoup plus petites que celles présentes au début. Tout ceci n'est que pure supposition.

Cependant la gyne, dès la nymphose des 2 larves, avait pondu un petit paquet d’œufs. En revenant chez moi fin août j'ai eu le plaisir de voir que ma colonie comptait désormais 13 ouvrières, 7 cocons, et un beau tas de larves. Espérant donc obtenir 20 ouvrières avant la mise au frais, je fus un peu déçu. Les cocons ont été déballés un par un (ils avaient une couleur de cocons matures) et leurs jeunes occupantes ont été écartelées et jetées aux ordures 8-O . Ont-elles préféré passer l'hiver avec moins de bouches à nourrir ? Aucune idée :think: . Et en novembre 2015, elles ont été placées au frais.
Jeune colonie de Camponotus cruentatus (les ouvrières du fond sont en train de détruire le contenu d'un cocon) (10/15), Les colonies d'Harpeg
Jeune colonie de Camponotus cruentatus (les ouvrières du fond sont en train de détruire le contenu d'un cocon) (10/15)

Mars 2016, sortie de diapause. Horreur ! Malgré les précautions prises (nid placé dans une boite), les psoques sont de retour :mur: ! La colonie est alors remise en tube, avec cette fois une ADC et un tube d'eau sucrée. Au fur et à mesure de la croissance de la petite famille, des tubes on été rajoutés. À noter que durant l'hiver 2015-2016, je me suis procuré un câble chauffant afin de les chauffer pendant les périodes fraiches. Elles sont alors à une température moyenne de 26°C en journée (au lieu d'une vingtaine de degrés l'année précédente). Les premières ouvrières colorées sont apparues vers juin 2016. Elles sont alors une petite centaine avant leur mise au frais de novembre 2016. Elles seront remises au chaud vers fin février 2017. À noter, qu'à partir de mi-septembre 2016, les cocons restant ont été à nouveau détruits. Pas d'explication (bonne température, nourriture plus que suffisante).
Remise en tube des Camponotus cruentatus (03/16), Les colonies d'Harpeg
Remise en tube des Camponotus cruentatus (03/16)
Évolution de la colonie de Camponotus cruentatus (gros couvain) (08/16), Les colonies d'Harpeg
Évolution de la colonie de Camponotus cruentatus (gros couvain) (08/16)
Colonie de Camponotus cruentatus avant mise au froid (11/16), Les colonies d'Harpeg
Colonie de Camponotus cruentatus avant mise au froid (11/16)
Vue d'ensemble du nid des Camponotus cruentatus (11/16), Les colonies d'Harpeg
Vue d'ensemble du nid des Camponotus cruentatus (11/16)

Régime alimentaire : eau sucrée en tube changée régulièrement ; œuf dur haché et miel/beetle jelly le mercredi ; viande hachée le samedi ; miel/beetle jelly le dimanche ; insectes de temps en temps (avec une préférence pour les blattes juvéniles).

Une centaine d'ouvrières en 2 ans et demi, je ne réalise pas bien si c'est peu ou normal, mais la colonie semble prendre le bon chemin, vu la ponte massive de 2016 *good* . L'élevage en tube est à privilégier le plus longtemps possible.

Je n'ai pas vraiment d’espèce préférée, chacune ayant des comportements très intéressants qui lui sont propres. En parlant de comportements remarquables, avez-vous déjà observé des "transports de troupes" chez les Camponotus ? Je m'explique : par moment, certaines ouvrières se mettent en position "fœtale" (comme si elles étaient dans un cocon) et se font transporter par une autre ouvrière jusqu'à un autre endroit du nid. je trouve ça vraiment drôle XD mais n'en comprends pas bien l'utilité :-? .

Merci pour vos commentaires et à bientôt pour la présentation de mes Camponotus barbaricus *salut* !
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Harpeg
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Re: Les colonies d'Harpeg

Message non lu par Harpeg »

Bonjour *salut* !

De retour sur le forum pour continuer la présentation de mes élevages, avec aujourd'hui les Camponotus barbaricus. J'aime beaucoup cette espèce aux couleurs chatoyantes. Les ouvrières sont constamment en physogastrie, ce qui ajoute une touche de blanc au noir et orange de leur corps.

J'ai acquis cette colonie grâce à un éleveur qui souhaitait s'en séparer (faute d'espace), qui lui même l'avait acheté sur un site espagnol. Lors de l'envoi (Mars 2016), la fondation comptait 4 ouvrières. Lors de la réception, 2 ouvrières étaient mortes (faute à de mauvaises conditions climatiques, juste durant le transport, bad luck). Voyant que la gyne et ses deux filles survivantes semblaient mal en point, elles ont été progressivement réchauffées, ce qui semble les avoir sauvées. Placées ensuite dans un tube propre, connecté à une ADC à base de boite de coton-tige et d'un tube d'eau sucrée, je leur ai fourni rapidement de la nourriture (selon le planning strict établi pour mes autres espèces) et de la chaleur via un câble chauffant. Le couvain était constitué de quelques larves.
Camponotus barbaricus (05/16), Les colonies d'Harpeg
Camponotus barbaricus (05/16)
Camponotus barbaricus (06/16), Les colonies d'Harpeg
Camponotus barbaricus (06/16)

On ne trouve pas énormément d'infos les concernant sur les forums. J'ai donc appliqué les règles de base concernant les Camponotus en provenance du sud : chaleur, calme, "obscurité"... C'est une espèce très timide lors de la fondation. Elles ont mis 2 semaines avant de daigner explorer de jour l'ADC afin de trouver de quoi manger. Néanmoins, le couvain s'est rapidement développé et l'effectif est passé à 4 ouvrières.

Par la suite tout s'est déroulé assez vite. La gyne a commencé à prendre un bon rythme de ponte et beaucoup d'autres ouvrières sont nées. A partir d'une quinzaine d'ouvrières, la timidité initiale avait disparu, laissant place à des raids destructeurs à l'encontre des morceaux de viande mis à leur disposition XD . Vers Septembre 2016, une ouvrière de grosse taille est apparue (grosse media ou petite major).
Camponotus barbaricus (08/16), Les colonies d'Harpeg
Camponotus barbaricus (08/16)
Camponotus barbaricus (09/16), Les colonies d'Harpeg
Camponotus barbaricus (09/16)

Pur tout dire, ce début très passif m'a un peu fait peur, et pourtant à l'heure de la mise au frais pour l'hiver (Novembre), j'ai pu compter une bonne cinquantaine d'ouvrières et un couvain monstrueux. J'ai du attendre une semaine supplémentaire (par rapport aux autre espèces) avant de les placer au froid, du fait de la présence d'une bonne dizaine de cocons quasi-matures. Elles seront remises au chaud fin Février 2017.
Camponotus barbaricus (11/16), Les colonies d'Harpeg
Camponotus barbaricus (11/16)
Camponotus barbaricus (11/16), Les colonies d'Harpeg
Camponotus barbaricus (11/16)

Leur régime alimentaire est exactement le même que celui des Camponotus cruentatus (voir post précédent).

C'est ainsi que s'achève la présentation de mes Camponotus barbaricus :-) .
A bientôt pour celle de mes deux colonies de Camponotus vagus *salut* .
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Harpeg
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Re: Les colonies d'Harpeg

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Bonjour :-) !

Je vais vous présenter aujourd'hui mes deux dernières colonies, les Camponotus vagus.
Colonie de Camponotus vagus, Les colonies d'Harpeg
Colonie de Camponotus vagus

J'ai reçu ces deux gynes en Mai 2016 d'un autre éleveur. Elles sont issues d'un même essaimage, de fin Avril 2016. Je les ai donc reçues toutes "neuves", sans le moindre couvain.

Ayant déjà une petite expérience avec les Camponotus (cruentatus/barbaricus), j'ai placé chacune de ces deux dames dans un tube propre et à une température avoisinant les 27°C en journée. Et bien sûr, au calme !

Je savais que cette espèce est réputée pour être l'une des Camponotus les plus simple à maintenir, du fait de son développement rapide. Mais je ne pensais pas à ce point o_O . Reçues avec absolument aucun œuf, mi-Juin elles avaient toutes deux un beau couvain. Et les premières ouvrières sont apparues dès fin-Juin.
Gyne Camponotus vagus 1 (06/16), Les colonies d'Harpeg
Gyne Camponotus vagus 1 (06/16)
Gyne Camponotus vagus 2 (06/16), Les colonies d'Harpeg
Gyne Camponotus vagus 2 (06/16)

Mi-Juillet, les fondations comptaient une dizaine d'ouvrières chacune, et le couvain était conséquent (beaucoup d’œufs, de larves et de cocons). Et avec les chaleurs de l'été, rien n'est allé en "s'améliorant" XD. Les gynes présentaient constamment des physogastries impressionnantes, et pondaient donc en conséquence.
Fondation Camponotus vagus 1 (08/16), Les colonies d'Harpeg
Fondation Camponotus vagus 1 (08/16)
Fondation Camponotus vagus 2 (08/16), Les colonies d'Harpeg
Fondation Camponotus vagus 2 (08/16)
Gyne Camponotus vagus présentant une physogastrie (09/16), Les colonies d'Harpeg
Gyne Camponotus vagus présentant une physogastrie (09/16)

En Octobre, les colonies comportaient une bonne cinquantaine d'ouvrières. Malgré le chauffage, elles se sont mises en diapause dès mi-Octobre : elles se sont toutes regroupées sur leur mère respective, elles-mêmes posées sur ses larves jaunissantes. Pour des raisons de praticité, j'ai dû transférer l'une des deux colonies dans l'ancien module de fondation de mes Camponotus cruentatus. Et tout ce petit monde a été mis au froid à partir de novembre. Elles seront remises au chaud d'ici une semaine.
Vue d'ensemble nid de la colonie 1 de Camponotus vagus, Les colonies d'Harpeg
Vue d'ensemble nid de la colonie 1 de Camponotus vagus
Vue d'ensemble nid de la colonie 2 de Camponotus vagus, Les colonies d'Harpeg
Vue d'ensemble nid de la colonie 2 de Camponotus vagus

Comme je le disais, une colonie n'en est pas une autre : l'une possède un énorme major et une multitude de minor/media, tandis que la seconde possède de nombreux petits major. Elles ont pourtant été nourries, logées et chauffées à la même enseigne pendant toute la période chaude. Les aléas de la vie ;-) .
Colonie de Camponotus vagus 1 : tête de la grosse major à droite du tube (10/16), Les colonies d'Harpeg
Colonie de Camponotus vagus 1 : tête de la grosse major à droite du tube (10/16)
Colonie de Camponotus vagus 2 (10/16), Les colonies d'Harpeg
Colonie de Camponotus vagus 2 (10/16)


Avant de clôturer ce post, quelques mots sur deux espèces que j'ai élevées précédemment. J'ai eu la chance d'élever une colonie de Crematogaster scutellaris (reçue en Novembre 2014, en même temps que mes Camponotus cruentatus). Je me suis séparé de cette colonie en Octobre 2016 (rendues à la nature dans un milieu viable pour elles). Je manquais en effet de place au fur et à mesure que le temps passait (elles ont rempli le même nid qu'habitent actuellement mes Messor barbarus, et ce en un temps record). Je me suis lassé de cette explosion démographique incontrôlable et de la sale odeur d'acide méthanoïque sur mes doigts à chaque nettoyage ou nourrissage *bad* . Quand on en a assez, il faut dire stop et ne pas laisser dépérir un animal par dépit.

De même pour mes Pheidole pallidula (reçues en Septembre 2015) : elles remplissaient deux grands nids plats et beaucoup s’échappaient dès que j'avais le malheur de soulever le couvercle des nids afin de les nourrir ou de faire un peu de ménage (l'anti évasion, elles n'en ont que faire !!). Et puis à cause de ces couvercles (tout de même percés), les mauvaises odeurs d'aliments s'accumulaient (malgré un changement de nourriture et un ménage très réguliers). Elles ont été relâchées dans un milieu où d'autres Pheidole pallidula vivent.

Ça n'a pas été sans un petit pincement au cœur de les voir partir comme cela :'( , mais je pense que c'est bien mieux ainsi, pour elles et puis pour moi (plus de temps à consacrer aux autres colonies). Ces deux très jolies espèces sont très bien pour des débutants souvent pressés (dont j'ai fait partie :grin: ) mais à la longue, prennent beaucoup trop d'ampleur. À conseiller aux débutants avec des pincettes donc.

Voilà voilà, j'en ai terminé avec la présentation de mes colonies. J'espère que cela vous aura plu. Je vais très certainement consacrer un blog à mes colonies dès qu'elles seront toutes remontées de la cave. Et un sujet sur un très jeune élevage (nourricier et pour le plaisir des yeux) un peu particulier, de Therea olegrandjeani.
Sur ce, bien à vous *salut* !
Harpeg.
Dernière modification par Harpeg le jeu. 16 févr. 2017 01:32, modifié 1 fois.
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Re: Les colonies d'Harpeg

Message non lu par RollingMan »

Ah oui, en ce qui me concerne, ça m'a plu ! Bien rédigé, bien détaillé, belles images, top ! :-)
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Re: Les colonies d'Harpeg

Message non lu par Morgrug »

Un vrai plaisir de lecture ! ;-)
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Re: Les colonies d'Harpeg

Message non lu par Geoff95 »

Harpeg a écrit :Je vais très certainement consacrer un blog à mes colonies dès qu'elles seront toutes remontées de la cave. Et un sujet sur un très jeune élevage (nourricier et pour le plaisir des yeux) un peu particulier, de Therea olegrandjeani.
Sur ce, bien à vous *salut* !
Harpeg.

La suite ! La suite ! :-)
Je pense qu'on est nombreux à avoir aimé cette présentation.
Je sais aussi que certains éleveurs de C. barbaricus (Gamik, Rignarok pour ne citer qu'eux ;-) ) sont à l'affût de toute info à partager sur leurs conditions d'élevage.
Pour ma part, c'est surtout ta grosse colonie de Lasius flavus que j'adore (tellement commune dans la nature et tellement rare sur le forum maintenant). :hihi:
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Re: Les colonies d'Harpeg

Message non lu par Harpeg »

Salut *salut* !

Des blogs sur mes Camponotus cruentatus, vagus et barbaricus (partie exotique pour ces dernières) ont été débutés il y a quelques semaines. Pour les autres espèces (Lasius flavus, Messor barbarus), je n'ai pas eu le temps de m'y consacrer et j’attends toujours le moment opportun pour prendre de bonnes photos et quelques vidéos.

Possible qu'un blog ou deux "pop" ce weekend ;-) .

À bientôt !
Dernière modification par Harpeg le mar. 18 avr. 2017 18:39, modifié 2 fois.
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